Retail & Influence Marketing : Don’t Call Me Jennyfer casse les codes avec sa nouvelle campagne
La marque de vêtements Don’t Call Me Jennyfer (DCMJ) s’associe à l’influenceuse Studio Danielle pour engager les 10-19 ans. Avec cette grand-mère préférée des français, DCMJ casse les codes dans une campagne de communication originale déclinée en magasin.
L’idole des jeunes débarque chez Don’t Call Me Jennyfer. Râleuse, authentique et attachante, Danielle a gagné en popularité grâce à son phrasé légendaire et ses coups de gueule. Plus d’1,1 millions de followers suivent quotidiennement ses aventures sur Instagram et sur YouTube.
La marque française des adolescentes a ainsi choisi Danielle comme nouvelle égérie pour présenter sa nouvelle collection de rentrée. « Pour ce temps fort de l’année, DCMJ a décidé de ne rien faire comme les autres et de collaborer avec Danielle, la « grannista* » préférée des français » explique Sébastien Bismuth, Président de la marque.
Cette campagne de « bonne influence » comprend affiches, photos et vidéos déployées dans plus de 250 boutiques Don’t Call Me Jennyfer en France. Des vidéos inédites avec l’interview de Danielle ou Danielle découvrant sa collaboration sont aussi relayées sur les comptes Instagram et TikTok de la marque.
Cette campagne de rentrée Don’t Call Me Jennyfer s’accompagne d’une opération commerciale baptisée « braqu-âge » disponible uniquement en points de vente. DCMJ s’engage en magasin à convertir en pourcentage de réduction l’âge de la personne accompagnant la jeune cliente. Par exemple, si elle vient avec son arrière-grand-père de 97 ans, elle bénéficiera de 97% de réduction. (Sur l’article préféré du panier dès 3 articles achetés).
Don’t Call Me Jennyfer adresse les collégiens et lycéens qui « refusent les étiquettes et assument leur style » Emmanuel Locati, DGA. Elle vient de s’élargir aux garçons avec le lancement d’une nouvelle marque masculine Don’t Call Me Bro, dans une trentaine de magasins.
*contraction de granny (grand-mère) et fashionista